Portraits confinés | Ingrid, Brand Manager

Vivre et travailler de la maison, ce n'est pas aussi simple qu'on l'imagine. Dans cette série de portraits, nos collègues nous partagent leur quotidien.

Pour ce lockdown Saison 2, la famille Appou a saisi le taureau par les cornes et convoqué toute la maisonnée pour un ‘briefing’ dès le premier jour. Garder autant que possible la même routine pour les devoirs et l’heure du coucher, c’est primordial.

Car pour les parents en WFH (Work From Home), entre le travail, la maison, le ménage, la préparation des repas, les devoirs, les réunions, on ne compte plus les heures…

« De mon aînée en passant par les cadets et jusqu’au petit dernier qui a fêté son 1er anniversaire en janvier, nous avons délivré des WAPS à chacun  et fixé des règles dès le départ ! » Ingrid a immortalisé ce moment et même si cela fait sourire, elle avoue que sans organisation, impossible d’y arriver !  « Pour mon aînée, ça va, elle est autonome. Par contre mes cadets ont besoin d’un accompagnement pour les devoirs et heureusement pour nous, nous avons la chance d’avoir des tablettes, des ordinateurs etc. Et l’école aussi, depuis le 1er confinement, s’est très bien organisée. »
Et le dernier de la fratrie, que fait-il ? « Alors lui, il faut presque le suivre à la trace ! Le seul moment de répit que nous avons c’est à l’heure de la sieste ! »

Mais qu’en est-il de ce fameux poulailler alors ?

Et bien pour ne pas être dérangée lors d’un teams meeting ou autre, Ingrid a trouvé la parade parfaite…elle envoie toute la petite tribu s’occuper des… poules ! Installé dans son jardin, le poulailler a six locataires et 4 propriétaires. « Nous n’avons pas trouvé mieux pour occuper les enfants. Avec le poulailler, je suis peinarde. » dit-elle en riant.  « Ce confinement a chamboulé nos petites habitudes mais permis d’en prendre de nouvelles. Certains jours sont plus durs que d’autres, il n’y a pas à s’en cacher mais on essaie au maximum de garder une routine et de profiter des weekends pour passer du temps de qualité en famille. » 

Merci à Ingrid d'avoir autorisé cette incursion dans son quotidien. Aller à la rencontre de l'autre en confinement, c'est possible et c'est même indispensable.

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